Bonnes feuilles

Rester fidèle à soi-même et aux autres n’est pas toujours chose facile. Cette page du P. François Varillon donne à comprendre l’arrière-plan qui soutient la tentation de trahir.

Saint Raymond de Penyafort († 1275) invite les soeurs de l’ordre qu’il a fondé à demeurer fermes dans le combat spirituel, en leur rappelant que la suite du Christ implique nécessairement adversité et persécutions.

Dans la méditation qui suit, le pape Jean-Paul II nous ouvre à la profondeur du mystère de l’Incarnation et donne sens à la fête de Noël que nous célébrons prochainement.

Jean Cassien était le Père abbé du monastère Saint-Victor à Marseille au début du cinquième siècle. Il y écrivit les Institutions monastiques à la demande du bienheureux Castor, évêque d’Apt. Nous en avons tiré la page qui suit.

Vous trouverez ici une petite méditation d’Athénagoras 1er (†1972), ancien patriarche oecuménique de Constantinople.

La page qui suit a été rédigée par Hugues († 1141), un chanoine régulier qui a appartenu à l’abbaye de Saint-Victor de Paris. Esprit de grande envergure intellectuelle, il fut souvent considéré comme un nouveau saint Augustin.

Le Père Anthelme a été moine à Tamié. Il a rejoint le Seigneur, source de sa joie, quelques jours avant la fête de l’Assomption 2007.

Le 26 juin 1864, sainte Thérèse Couderc, fondatrice du Cénacle, vit une expérience spirituelle dont elle a retranscrit la profondeur dans un petit texte intitulé : « Se livrer ».

Dans une pièce où règne unanimement la conspiration du silence, une parole de vérité résonne comme un coup de feu.

Chaque fois que nous omettons de prononcer une parole forte et courageuse, nous sommes complices du silence du tombeau, complices des forces de la mort.

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